(Acte I, scène 4) Pâris : Mon cher Hector, c'est vrai. Jusqu'ici, j'ai toujours accepté d'assez bon coeur les séparations. La séparation d'avec une femme, fût-ce la plus aimée, comporte un agrément que je sais goûter mieux que personne. La première promenade...